L’empreinte du yeux
Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le conscience, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fo